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Travaux sur les rêves télépathiques.
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Travaux sur les rêves télépathiques.
Montague Ullman et Stanley Krippner ont réalisé des travaux portant sur les rêves télépathiques au Maïmonides Hospital de New York dans les années 1970, notamment dans le but de vérifier si le sommeil pouvait favoriser les perceptions extra sensorielles (PES).
Le protocole se présentait sous la forme suivante : lorsque le percipient (le « récepteur ») dormait, ses périodes de rêve étaient détectées à partir de ses ondes cérébrales et de mouvements occulaires spécifiques. On proposait alors à l’agent (l’« émetteur ») de se concentrer sur une cible donnée (par exemple, une image). Le percipient était ensuite réveillé à la fin de son rêve et il lui était demandé de décrire ce dernier. Ce processus se déroulait quatre à cinq fois par nuit.
Sujet dormant au laboratoire du sommeil du Maimonide Hospital.
Le percipient devait ensuite classer 8 images (cible initiale + 7 leurres)en fonction des concordances, plus ou moins grandes, qu’il pensait repérer avec son rêve. Dans certaines expériences, cette tâche était effectuée par des juges indépendants et non par le percipient. Si la cible initiale était classée parmi les 4 premières, la session était un « hit », dans le cas contraire, c’était un « miss », un raté.
Le hasard seul voudrait que les résultats soient de 50%. En réalité, si l’on cumule les différentes études sur le sujet, les percipients ont eu 102 hits et 48 miss. Le taux de succès est donc de 68% (p= 0,002). De plus, les résultats étaient encore meilleurs avec des juges indépendants (taux de 73% ; p= 0,000002 %).
Ces recherches ont permis de comprendre plus précisément comment les informations psi étaient « reçues » par le percipient :
Les données complexes sont décomposées en éléments simples, ce qui confirme les travaux déjà réalisés par Warcollier à l’Institut Métapsychique international.
Les informations psi sont déformées par les représentations propres au sujet selon des mécanismes reconnaissables et identiques à ceux qui sont à l’oeuvre dans le travail onirique dans son ensemble (inversion dans le contraire, déplacement, figuration,etc.).
Le protocole se présentait sous la forme suivante : lorsque le percipient (le « récepteur ») dormait, ses périodes de rêve étaient détectées à partir de ses ondes cérébrales et de mouvements occulaires spécifiques. On proposait alors à l’agent (l’« émetteur ») de se concentrer sur une cible donnée (par exemple, une image). Le percipient était ensuite réveillé à la fin de son rêve et il lui était demandé de décrire ce dernier. Ce processus se déroulait quatre à cinq fois par nuit.
Sujet dormant au laboratoire du sommeil du Maimonide Hospital.
Le percipient devait ensuite classer 8 images (cible initiale + 7 leurres)en fonction des concordances, plus ou moins grandes, qu’il pensait repérer avec son rêve. Dans certaines expériences, cette tâche était effectuée par des juges indépendants et non par le percipient. Si la cible initiale était classée parmi les 4 premières, la session était un « hit », dans le cas contraire, c’était un « miss », un raté.
Le hasard seul voudrait que les résultats soient de 50%. En réalité, si l’on cumule les différentes études sur le sujet, les percipients ont eu 102 hits et 48 miss. Le taux de succès est donc de 68% (p= 0,002). De plus, les résultats étaient encore meilleurs avec des juges indépendants (taux de 73% ; p= 0,000002 %).
Ces recherches ont permis de comprendre plus précisément comment les informations psi étaient « reçues » par le percipient :
Les données complexes sont décomposées en éléments simples, ce qui confirme les travaux déjà réalisés par Warcollier à l’Institut Métapsychique international.
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