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Apparition de La Salette...
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Apparition de La Salette...
La "Belle Dame" commence par dire : "Avancez mes enfants, n’ayez pas peur". Après cette invitation et mise en confiance, Elle parle aux enfants des événements souvent graves qu’ils voient autours d’eux et de ceux qui peuvent arriver si les hommes ne changent pas leur attitude.
Cette femme qui pleure, que vient-elle nous dire ?
En 1845-46 le non respect du dimanche et la propagation de l’athéisme sont deux traits d’actualité dont les conséquences sont dramatiques. Le rejet de "son Fils" et de sa parole de vie, "l’évangile du partage", conduit à fabriquer un monde d’égoïsme, dont les premières victimes sont les petits enfants qui meurent (63 petits enfants sont morts des conséquences de la malnutrition dans le seul canton de Corps quelques mois après que la "Belle Dame" soit venue pour réveiller son peuple).
Néanmoins, le Message de la "Belle Dame" est porteur d’une grande espérance. Aussi, appelle-t-Elle à la conversion, à nous tourner avec Elle vers son Fils, par la prière, l’Eucharistie communautaire du dimanche et la prise au sérieux du carême.
Tout en rappelant ces exigences, elle se montre très maternelle à l’égard des enfants, mais aussi du papa mécréant de Maximin. Ce dernier, le charron du village qui faisait travailler ses ouvriers le dimanche et se moquait de Dieu, est un des premiers témoins les plus exemplaires de la conversion souhaitée par Marie.
Toujours présente à ses enfants, elle vient émouvoir les cœurs, interpeller les consciences face à un monde sans Dieu, sans justice et sans amour. Elle veut nous relever et nous remettre en marche ensemble, à la suite de "son Fils", avec tendresse et avec vigueur.
Lors de son apparition, la Vierge Marie a confié à Maximin et Mélanie ensemble un Message à destination de "tout son peuple". L’Evêque de Grenoble l’a authentifié par mandement le 19 septembre 1851.
"Avancez, mes enfants, n’ayez pas peur, je suis ici pour vous conter une grande nouvelle.
Si mon peuple ne veut pas se soumettre, je suis forcée de laisser aller le bras de mon Fils. Il est si fort et si pesant que je ne puis plus le maintenir. Depuis le temps que je souffre pour vous autres ! Si je veux que mon Fils ne vous abandonne pas, je suis chargée de la prier sans cesse. Pour vous autres, vous n’en faites pas cas ! Vous aurez beau prier, beau faire, jamais vous ne pourrez récompenser la peine que j’ai prise pour vous autres.
Je vous ai donné six jours pour travailler, je me suis réservé le septième et on ne veut pas me l’accorder. C’est ça qui appesantit tant le bras de mon Fils.
Et aussi, ceux qui mènent les charrettes ne savent pas jurer sans mettre le nom de mon Fils au milieu. Ce sont les deux choses qui appesantissent tant le bras de mon Fils.
Si la récolte se gâte, ce n’est rien qu’à cause de vous autres. Je vous l’avais fait voir l’an dernier par les pommes de terre, vous n’en avez pas fait cas. C’est au contraire : quand vous en trouviez des pommes de terre gâtées, vous juriez, vous mettiez le nom de mon Fils au milieu. Elles vont continuer, et cette année, pour la Noël, il n’y en aura plus.
(Jusqu’ici la Belle Dame a parlé en français. Elle prévient une question de Mélanie et termine son discours en patois)
Vous ne comprenez pas, mes enfants ! Je vais vous le dire autrement. Si la recolta se gasta...
Si vous avez du blé, il ne faut pas le semer. Tout ce que vous sèmerez, les bêtes le mangeront et ce qui viendra tombera tout en poussière quand on le battra. Il viendra une grande famine.
Avant que la famine vienne, les petits enfants au-dessous de 7 ans prendront un tremblement et mourront entre les mains des personnes qui les tiendront.
Les autres feront pénitence par la famine. Les noix deviendront vides, les raisins pourriront.
(A ce moment Mélanie voit que la Belle Dame dit quelques mots à Maximin, mais elle n’entend pas. Puis c’est au tour de Maximin de comprendre qu’elle dit quelques mots à Mélanie qu’il n’entend pas non plus. Puis elle poursuit.)
S’ils se convertissent, les pierres et les rochers deviendront des monceaux de blé et les pommes de terre seront ensemencées par les terres.
Faites-vous bien votre prière, mes enfants ?
- Pas guère, Madame.
- Ah ! Mes enfants, il faut bien la faire, soir et matin, ne diriez-vous qu’un Pater et un Ave Maria quand vous ne pourrez pas mieux faire. Et quand vous pourrez mieux faire, il faut en dire davantage.
L’été, il ne va que quelques femmes un peu âgées à la Messe. Les autres travaillent le dimanche tout l’été, et l’hiver, quand ils ne savent que faire, ils ne vont à la Messe que pour se moquer de la religion.
Le Carême, ils vont à la boucherie, comme les chiens.
- N’avez-vous jamais vu du blé gâté, mes enfants ?
- Non Madame !
- Mais vous, Maximin, mon enfant, vous devez bien en avoir vu une fois, au Coin, avec votre père. Le maître du champ dit à votre père de venir voir son blé gâté. Vous y êtes allés. Votre père prit deux ou trois épis dans sa main, les froissa et ils tombèrent tous en poussière. En vous en retournant, quand vous n’étiez plus qu’à une demi-heure de Corps, votre père vous donna un morceau de pain en vous disant : "Tiens, mon petit, mange encore du pain cette année, car je ne sais pas qui va en manger l’an qui vient si le blé continue comme ça".
- Ah ! Oui, Madame. Je m’en rappelle à présent. Je ne m’en rappelais pas tout à l’heure.
Eh bien, mes enfants, vous le ferez passer à tout mon peuple !
Allons, mes enfants, faites-le bien passer à tout mon peuple !"
Sanctuaire de La Salette, région Rhône-Alpes, dans l'Isère.
Cette femme qui pleure, que vient-elle nous dire ?
En 1845-46 le non respect du dimanche et la propagation de l’athéisme sont deux traits d’actualité dont les conséquences sont dramatiques. Le rejet de "son Fils" et de sa parole de vie, "l’évangile du partage", conduit à fabriquer un monde d’égoïsme, dont les premières victimes sont les petits enfants qui meurent (63 petits enfants sont morts des conséquences de la malnutrition dans le seul canton de Corps quelques mois après que la "Belle Dame" soit venue pour réveiller son peuple).
Néanmoins, le Message de la "Belle Dame" est porteur d’une grande espérance. Aussi, appelle-t-Elle à la conversion, à nous tourner avec Elle vers son Fils, par la prière, l’Eucharistie communautaire du dimanche et la prise au sérieux du carême.
Tout en rappelant ces exigences, elle se montre très maternelle à l’égard des enfants, mais aussi du papa mécréant de Maximin. Ce dernier, le charron du village qui faisait travailler ses ouvriers le dimanche et se moquait de Dieu, est un des premiers témoins les plus exemplaires de la conversion souhaitée par Marie.
Toujours présente à ses enfants, elle vient émouvoir les cœurs, interpeller les consciences face à un monde sans Dieu, sans justice et sans amour. Elle veut nous relever et nous remettre en marche ensemble, à la suite de "son Fils", avec tendresse et avec vigueur.
Lors de son apparition, la Vierge Marie a confié à Maximin et Mélanie ensemble un Message à destination de "tout son peuple". L’Evêque de Grenoble l’a authentifié par mandement le 19 septembre 1851.
"Avancez, mes enfants, n’ayez pas peur, je suis ici pour vous conter une grande nouvelle.
Si mon peuple ne veut pas se soumettre, je suis forcée de laisser aller le bras de mon Fils. Il est si fort et si pesant que je ne puis plus le maintenir. Depuis le temps que je souffre pour vous autres ! Si je veux que mon Fils ne vous abandonne pas, je suis chargée de la prier sans cesse. Pour vous autres, vous n’en faites pas cas ! Vous aurez beau prier, beau faire, jamais vous ne pourrez récompenser la peine que j’ai prise pour vous autres.
Je vous ai donné six jours pour travailler, je me suis réservé le septième et on ne veut pas me l’accorder. C’est ça qui appesantit tant le bras de mon Fils.
Et aussi, ceux qui mènent les charrettes ne savent pas jurer sans mettre le nom de mon Fils au milieu. Ce sont les deux choses qui appesantissent tant le bras de mon Fils.
Si la récolte se gâte, ce n’est rien qu’à cause de vous autres. Je vous l’avais fait voir l’an dernier par les pommes de terre, vous n’en avez pas fait cas. C’est au contraire : quand vous en trouviez des pommes de terre gâtées, vous juriez, vous mettiez le nom de mon Fils au milieu. Elles vont continuer, et cette année, pour la Noël, il n’y en aura plus.
(Jusqu’ici la Belle Dame a parlé en français. Elle prévient une question de Mélanie et termine son discours en patois)
Vous ne comprenez pas, mes enfants ! Je vais vous le dire autrement. Si la recolta se gasta...
Si vous avez du blé, il ne faut pas le semer. Tout ce que vous sèmerez, les bêtes le mangeront et ce qui viendra tombera tout en poussière quand on le battra. Il viendra une grande famine.
Avant que la famine vienne, les petits enfants au-dessous de 7 ans prendront un tremblement et mourront entre les mains des personnes qui les tiendront.
Les autres feront pénitence par la famine. Les noix deviendront vides, les raisins pourriront.
(A ce moment Mélanie voit que la Belle Dame dit quelques mots à Maximin, mais elle n’entend pas. Puis c’est au tour de Maximin de comprendre qu’elle dit quelques mots à Mélanie qu’il n’entend pas non plus. Puis elle poursuit.)
S’ils se convertissent, les pierres et les rochers deviendront des monceaux de blé et les pommes de terre seront ensemencées par les terres.
Faites-vous bien votre prière, mes enfants ?
- Pas guère, Madame.
- Ah ! Mes enfants, il faut bien la faire, soir et matin, ne diriez-vous qu’un Pater et un Ave Maria quand vous ne pourrez pas mieux faire. Et quand vous pourrez mieux faire, il faut en dire davantage.
L’été, il ne va que quelques femmes un peu âgées à la Messe. Les autres travaillent le dimanche tout l’été, et l’hiver, quand ils ne savent que faire, ils ne vont à la Messe que pour se moquer de la religion.
Le Carême, ils vont à la boucherie, comme les chiens.
- N’avez-vous jamais vu du blé gâté, mes enfants ?
- Non Madame !
- Mais vous, Maximin, mon enfant, vous devez bien en avoir vu une fois, au Coin, avec votre père. Le maître du champ dit à votre père de venir voir son blé gâté. Vous y êtes allés. Votre père prit deux ou trois épis dans sa main, les froissa et ils tombèrent tous en poussière. En vous en retournant, quand vous n’étiez plus qu’à une demi-heure de Corps, votre père vous donna un morceau de pain en vous disant : "Tiens, mon petit, mange encore du pain cette année, car je ne sais pas qui va en manger l’an qui vient si le blé continue comme ça".
- Ah ! Oui, Madame. Je m’en rappelle à présent. Je ne m’en rappelais pas tout à l’heure.
Eh bien, mes enfants, vous le ferez passer à tout mon peuple !
Allons, mes enfants, faites-le bien passer à tout mon peuple !"
Sanctuaire de La Salette, région Rhône-Alpes, dans l'Isère.
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